lundi, novembre 14, 2005

Angkor wat

Ce week-end, nous partons au Cambodge, destination Angkor Wat. Il s’agit de visiter un des plus beaux et plus grand temple d’Asie. Très réputé, cet endroit regroupe en fait une multitude de temple dans un périmètre restreint.
Le départ se fait de l’hôtel à 4h30. Matinée horrible. Hier, on a trouve une soirée Open bar dans une boite, dont les entrée sont gratuites en Thaïlande. On est rentrés a deux heures. Le temps de revenir et de se coucher il était 2h45… Bref pas beaucoup de sommeil. Un taxi nous amène à Mochit ou l’on prend un bus gouvernemental pour Poipet, ville frontière avec le Cambodge. Apres de rapides formalités pour rentrer au Cambodge, accompagnés par un officier chargé de guider personnellement les touristes du début a la fin dans leur parcours (c’est bien pratique), on rentre enfin dans la ville. Le premier contact qu’on a avec le Cambodge. Pas très séduisant. Une ville bourrée de casinos clinquants, des routes en terre au milieu, et des enfants qui mendient. On prend un taxi a 40 dollars pour rejoindre Siam Reap, là ou Angkor Wat se situe. On monte dans une Toyota au pare-brise cassé, qui nous rappelle que les 5 heures de trajet que l’on va effectuer ne sera pas de tout repos. La route, tout d’abord goudronnée est de mauvaise qualité et els nids de poules se suivent les uns après les autres. Et puis au bout de quelques kilomètres, plus de goudron. Le chauffeur ne dépasse plus les 30 kilomètre heures. Il tourne plutôt autour de 20… Impossible de se concentrer sur autre chose que la route. Uns seul but : amortir les chocs dus aux chaos de la route. Notre chauffeur a beau être doué et faire de son mieux, la voiture ne cesse de trembler, de remuer, de se balancer de gauche a droite. Nos estomacs commencent a en subir les conséquences. On rêverait de dormir, mais c’est littéralement impossible. Impossible de reposer sa tête sur le siège, la voiture ne cesse de retransmettre les perturbations de la route. Et puis au bout de 5 heures, on arrive. On se pose a notre guest house. On réserve notre tuk-tuk pour demain. Un mec qu’on nous a recommande. Il avait déjà accompagne Max (ou plutôt Mister Max comme il nous l’on appelle là-bas) et aussi Flo, Mathilde et Greg. Un mec super sympa en effet. Il passait le plus clair de son temps a dormir quand il ne nous conduisait pas, sauf une fois, ou il a joue a une sorte de jeu dont le principe est de faire des jongles avec un truc qui ressemble a un volant de badminton. En l’occurrence, deux autres chauffeurs de tuk-tuk d’environ 35 ans et une serveuse de restaurant s’étaient mêlés a la partie. Ca en dit long sur l’esprit Cambodgien. C’est comme els Thai : Sanuk. On bosse un peu, mais on essaie surtout de s’éclater, et de jouer, peu importe l’âge qu’on a. La visite des temples fut assez impressionnante. Des tas de cailloux plus ou moins bien conservés, de différentes couleurs, avec ou sans arbres incrustés. On comprend mieux les variantes photos à l’appui. Ca mérite les deux jours (exténuants) qu’on y passe. De là à ce que je vous fasse une reconstitution de l’ambiance qui y régnait et de la beauté des choses, faut pas rêver quand même. On s’arrêtera juste sur quelques détails. Le nombre de groupe de musiques traditionnels, jouant sur le bord de la route, dont tous les membres on été victimes de mines anti-personnel (Il en reste encore 6 millions perdues sous terres aujourd’hui). Il y a aussi tous ces enfants, qui vous surnomment « one dollar » et qui ne cessent de vous appeler. Impressionnants. Ils parlent couramment Anglais, un peu Français parfois (‘dix pour un dollar’). Ils connaissent els capitales de la pluparts des pays dans le monde (un de leurs jeux préférés pour vous faire acheter une de leurs babioles. Si vous perdez, c’est one dollar contre un truc). On s’attendait a se faire harceler, il restent tout de même très gentils. Pas de vol, même s’ils sont pauvres. C’est décidément un peuple bien sympathique qu’on rencontre dans cette région du monde. Et puis surtout, ils restent heureux de vivre, cela vaut pour les gens a Siam Reap mais aussi pour les pauvres qu’on a croisé sur la route. Comme on a bien sympathisé avec Ratana, le chauffeur de tuk-tuk, ils nous a emmenés en boite. Attention, pas un seul, occidental, mais bien une boite pour Cambodgiens. Assez folklo. Ca commence par des variétés cambodgiennes. Ca passe tout a coup a de la techno, pour passer encore tout a coup a 5 minutes de slow, qui reviennent subitement a de la techno. On rentre a 11 heures. Il faut se lever tôt demain pour notre deuxième jour. Une autre journée de visite nous attend.
Le dernier jour, nous partons de bonheur. Le taxi arrive en retard à la guest. On embarque un autre passager, ami du patron de la guest. Avant de rependre la portion de 4 heures de route sans goudron, le taxi s’arrête dans une petite ville. La. Les enfants voyants Laure et Hortense porter les bracelets qu’on leur avait donne ici même a l’aller, il nous disent qu’ils nous reconnaissent, même si c’est pas les mêmes. Ils nous demandent de changer leurs euros en Bahts. Non. Alors c’est la question habituelle : what do you want Mister ?
- Moi ? un drapeau Cambodgien.
- Ok. Give me your money, I bring you one back
- No, I come with you.
Et voila qu’on gamine me prend par le bras et m’emmène a tout allure vers le marche de la ville. Un dédale d’étalages vendant des radios, des poulets morts et plumés, des vêtements en tous genres. Je manque de la perdre plusieurs fois, alors que les autochtones me dévisagent en se demandant comment un blanc a pu se perdre aussi loin dans la ville. Apres avoir fait plusieurs magasin infructueusement, je dis a la gamine que mes amis vont m’attendre et que je ferai mieux de rentrer. Sur le chemin du retour, je rencontre d’autres gosses qui me demandent ce que je cherche, Je leur explique. Une autre gamine me dit, ne bouge pas. J’attends trente seconde et je me décide à repartir alors que Laure, m’ayant aperçu au loin m’appelle. Et puis la gamine me rappelle, ‘Mister, Mister, I have what you want’. Elle me tend un drapeau un peu délavé et plein de la poussière rouge environnante. Je lui négocie a 3 dollars. Quand je lui demande d’où il vient, elle me répond qu’elle l’a décroché du magasin de ses parents. Les gosses éclatèrent de rire quand je leur lançai un regard amusés du style « vous foutez pas de moi, je sais très bien que vous l’avez chipé a quelqu’un ». Bonne affaire pour tous. J’ai un drapeau Cambodgien tout a fait authentique, et les gosses ont fait un bénéfice net de 3 dols. Peut-être une personne un peu lésée pour le coup, celui a qui appartenait le drapeau. Pour le coup, je me demande si ce ne sont pas le gouvernement ou les partis politiques qui les offrent vu le nombre qu’ils y en a, ou que ce soit.


Des qu'ils on quelques minutes de repit, les Thai en profitent pour faire une sieste. Ici, c'est la pilote de notre embarcation pour notre journee snorkeling autour de l'ile.


Koh Tao: meme pas besoin de plonger pour voir des beaux poissons


Koh Tao: Laure et Flo apres un session de snorkeling


Encore en week-End, a partir du 2 novembre et jusqu'au 6. Cette fois-ci c'est Koh Tao, ile connue pour son milieu sous-marin


Nous et nos nouveaux amis Thai, qui nous balladent dans les environs de udon Thani.


Chiang Kahn: Ville decidement orientee vers le futur. Une capitale economique en devenir.


Le Mekong: L'eau est decidement toute marron...


On trouve quelques agriculteurs pauvres sur le bord du mekong.


Sur le bord du Mekong


Le week-end d'apres: une valle dans le nord ouest de la Thailande


Les plages de Koh Samet


week-end a Koh Samet: la glande...


L'equipe d'apprentis cuistos, dont deux Australiens rencontres au boulot.


De retour a Chiang Mai, le lendemain, un petit tour sur la merche avant d'entamer un cours de cuisine


Encore une traversee de pont


Un peu creves la, non ?


Super, on apprend meme a faire de bulles avec des tiges de plantes!


D'auters Karens


Un vieux nous fait une demonstration de l'intrument de musique local.


Une tablee conviviale. 12 potes autours de la table, une bouffe delicieuse, toujorus perdus dans la montagnes du peuple karen


Une maman Karen et ses trois enfants.


Super, plein de jeune femmes qui se baignent dans une cascade magnifique perdue au milieu de la jungle ! Vous y croyez vous ?


Saurez vous retrouver le Vietcong qui s'est egare dans cette riziere ? (pardon... c'est de mauvais gout...)


Ici, meme pas de pot de lianes, juste trois bout de bois pour travaerser la riviere


en pleine jungle...


C'est le debut de la journee, on marche encore vaillement.


Treck a Chiang Mai: au mileux des rizieres dans les montagnes


Chiang Mai: photo de groupe, perdus dans les sentiers de la region...


Chiang Mai: Un elephant, ca sait mettre un chapeau sur la tete des gens.


Chiang Mai: petite ballade a dos d'elephants. C'est plus sportifs que l'on ne l'imagine.


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